Chapitre 14 - Aujourd'hui, on va chez le Président ! - par Maxime

« Je sens tout mon corps qui vibre, s'exclame Idriss dans l'avion privé du Président Macaron.
- Calme-toi, Idriss, dit Lisa d'un air sérieux ». 
Monsieur Melvil ne réagit pas, c'est le portrait craché d'Idriss. Ils sont tous les deux obsédés par les tablettes dernier cri attachées sur le siège de devant. Moi, je suis entre mes parents : super je repense à toutes ces années de bonheur ; comme si mon père avait toujours été là. 

Deux heures plus tard, devant l'Elysée, nous faisons les présentations
« Bonjour Lisa, dit le Président ». Dans la seconde qui suit, Idriss demande : « Vous pouvez me donner 10000 euros pour la véranda de ma voisine que j'ai cassée avec un ballon ». La honte ! Ses parents tombent dans les pommes. 

Après un long discours et les présentations, je vois Lisa qui tente une escapade et Idriss la suit et moi je suis le mouvement ». Plus tard, on se rend compte qu'on s'est perdus et on est essoufflés d'avoir tant marché. Idriss pose sa main sur le mur et active un toboggan secret ! « Aaaaah, crie Idriss ». Puis, on a entendu un gros "bam" !!
« Ca va Idriss ? crions Lisa et moi
- Oui, rien de cassé ! »
Puis Lisa s'élance et moi aussi. 
Lisa s'exclame : « Nous sommes devant la salle Jupiter ! » Il y a un monsieur à quelques mètres de nous et Idriss dit d'un air inquiet : 
« Je connais cette personne, sur les tablettes, dans l'avion il était à la une sur le web, c'est un terroriste, un raciste. Je suis sûr qu'il veut envoyer le missile nucléaire sur les pays musulmans.
- Tu as raison, dit Lisa qui avait remarqué qu'il maniait des explosifs ».
Je regarde Lisa qui semble avoir un plan : « Bon, dit Lisa, j'ai un plan ».
Et son plan marche à merveille ! Cette mauviette d'Idriss s'est porté volontaire pour aller prévenir le Président. Moi, je fais diversion pendant que Lisa désamorce la bombe. Mais le criminel a une arme, mais quand il veut appuyer sur la gâchette, il s'écroule. Derrière lui, le Président, sa garde, nos parents et Idriss regardent le criminel s'évanouir grâce au taser du garde. 

Ensuite, après tant d'émotion, nous passons à la télé pour les règles et les idées de Lisa. A la fin, le Président nous invite pour rester quatre jours et nous crions : « D'accord !!! ». FIN.


Commentaires

France a dit…
Décidément, j'adore ton anecdote de la véranda, bien trouvée !
Merci vraiment Maxime pour tes billets inventifs et rédigés avec talent. A bientôt pour de nouvelles aventures numériques...

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